Twitlistmanager : un outil pour gérer ses listes Twitter

Les listes sont probablement une des fonctionnalités les moins connues ou les moins utilisées par les twittos. Elles permettent de catégoriser des personnes (que l’on suit ou pas).

Cela se présente de la façon suivante :

Exemple de listes Twitter

Exemple de listes Twitter

Un outil gratuit repéré sur The undercover recruiter simplifie la gestion de ses listes : Twitlistmanager. Il offre en effet une vision synoptique de l’ensemble de ses listes et permet d’y ranger (ou d’en ôter) les personnes que l’on suit en cochant des cases :

Twitlistmanager

Twitlistmanager

Une idée simple mais encore fallait-il y penser !

Un site malin pour les amoureux de musique : Whyd

Whyd, the place for music lovers

Whyd

Mercredi 9 juillet, nous avons eu le plaisir d’assister à la première table ronde de la conférence “Les start-ups réinventent-elles l’industrie musicale ?”, organisée par Whojamlive et Polyphony à l’ESCP-EAP. Dans ce billet, nous revenons sur la présentation du service Whyd par son fondateur, Gilles Poupardin.

Gilles Poupardin est ce qu’il est convenu d’appeler un serial entrepreneur, avec plusieurs start-ups à son palmarès dans le domaine de la culture et de la mobilité. Il est aussi connu sur la scène parisienne de l’entrepreneuriat pour être le co-créateur des Aperoentrepreneurs.

Sa nouvelle inititative, Whyd, est très maline. Tout d’abord, elle réjouira les music lovers, comme aime à les appeler Gilles Poupardin. Whyd part du principe suivant : aujourd’hui, les sources pour découvrir et partager de la musique sur le Web sont fragmentées. Entre Deezer (qui était également représentée à la conférence en la personne de son PDG France, Simon Baldeyrou), YouTube, Soundcloud, et j’en passe, les passionnés n’ont que l’embarras du choix pour découvrir le nouveau son qui va les faire vibrer. D’un autre côté, les outils de partage (Twitter, Facebook et consort) ne sont pas adaptés à la musique : sitôt écouté, le titre que l’on y découvre plonge dans les limbes du flux, sans qu’il soit aisé de le retrouver.

Face à ce constat, Whyd se présente comme the place to be for music lovers (Gilles Poupardin ne rechigne pas à parler anglais : la moitié des abonnés de Whyd sont déjà hors de France, moins d’un an après son lancement). L’idée est de pouvoir collectionner, caractériser par des tags, classer ses titres et albums préférés (“curer” un contenu musical, pour reprendre ce néologisme du Web social) en un endroit unique, quel que soit leur source. Sur Whyd, on peut créer des playlists associant indifféremment des sources issues de YouTube, Soundcloud et les autres, en faire un flux (“stream”) et l’écouter directement sur la plate-forme. Le partage de la musique est aussi simplifié : pour savoir ce qu’aiment vos amis en termes de musique, il suffit de se connecter sur leur profil Whyd, et l’ensemble des pépites musicales qu’ils ont découvertes vous sont accessibles.

Ce service, actuellement encore en beta sur invitation, est malin pour les utilisateurs, car il est très pratique. Mais il est aussi malin d’un point de vue économique, puisque Whyd n’a pas eu à négocier quoi que ce soit avec des maisons de disque ou des ayants droits : il ne fait que consolider des sources stockées par des services tiers, en utilisant les API qu’ils mettent à disposition !

Gilles Poupardin ne s’attarde pas sur la description de son modèle économique. A ce stade, son objectif est d’offrir un service de la meilleure qualité possible, qui attire une vaste audience de réels passionnés de la musique, dont une grande part du budget loisir est consacré à cette passion. Son pari : de la présence d’un grand nombre de passionnés ayant un pouvoir d’achat naîtra une audience susceptible d’intéresser des partenaires, et donc monétisable.

Whyd est une idée qui séduit par sa simplicité. Elle rend un vrai service aux passionnés de musique. Réussira t-il à attirer la masse critique d’utilisateurs nécessaire à son décollage ? Rendez-vous dans quelques mois pour le savoir !

La dataviz : du concret pour les entreprises

Livre blanc dataviz réalisé par Smartwords pour SAS et l'EBG

Livre blanc Dataviz

Datavisualisation : le terme est à la mode. Comme Big data. Mais au-delà des mots, est-ce que ces concepts correspondent à des réalités concrètes ? Le dernier livre blanc réalisé par Smartwords pour l’Electronic Business Group (EBG) et SAS France permet de répondre par l’affirmative. Pas moins de trente entreprises ont témoigné sur des projets et des réalisations bien réels de data visualization. Tous les secteurs sont représentés : biens de consommation grand public (L’Oréal, Ubisoft), services aux entreprises (Accenture) , industrie (Ingenico, Philips, Schlumberger…), médias (BFM Business, France Télévisions, Prisma Media…), pour n’en citer que quelques uns. On découvre notamment dans le livre comment la dataviz permet de tirer tout le parti de l’analyse des données (analytics), par exemple à des fins de reporting. Mieux encore, la datavisualisation est un formidable outil d’exploration des données, pour découvrir des phénomènes qui passeraient inaperçus autrement.

Le livre blanc est en téléchargement sur les sites des partenaires : SAS France et EBG.

NETVA : ouvre les portes des Etats-Unis aux jeunes entreprises françaises

Netva - New-England Technology Venture Accelerator

Netva

La 4eme édition du concours Netva, lancée depuis le 7 février, est proposée aux jeunes start-up innovantes et technologiques françaises.
NETVA (New Technology Venture Accelerator), est un programme de formation et d’exposition sur le marché américain des jeunes entreprises innovantes. NETVA a reçu le premier prix «Recherche et Innovation» du concours des «Initiatives de l’Économie 2010». De plus ce programme est organisé par la Mission pour la Science et la Technologie de l’Ambassade de France aux Etats-Unis, en partenariat avec le réseau RETIS mais regroupe également des partenaires tels que Microsoft Bizspark, UBIFRANCE ou encore Oséo.

Les entreprises lauréates (une dizaine) auront l’opportunité d’être en immersion aux Etats-Unis, dans les deux écosystèmes les plus dynamiques du monde : la Silicon Valley (San Francisco) ainsi que le Massachusetts (Boston).
D’après Antoine Mynard, attaché pour la science et la technologie au Consulat de France à Boston « Les jeunes entreprises technologiques françaises sont très bien perçues aux États-Unis », il confie également le fait qu’ « Elles sont inventives, innovantes. En revanche, elles pêchent au niveau de la preuve du concept et de leur business plan.»
Le programme Netva propose aux entreprises sélectionnées un accompagnement intégralement personnalisé, cela a pour but de développer leur exposition sur le sol américain et de leur permettre d’accéder à des conseils et à une prise en charge totalement adaptés à leurs besoins. Les lauréat auront donc accès à plusieurs aides :

  • Un accompagnement réalisé par un mentor américain qui aide à créer une connexion en l’entreprise et l’écosystème,
  • Des formations et des séminaires permettant de mieux comprendre et d’optimiser les différentes stratégies d’implantation,
  • Une mise en relation avec des professionnels, contact avec les différents partenaires du programme, participation à des évènements de grande ampleur…

Ce concours, proposé par Netva, se présente donc comme étant un réel tremplin pour les start-ups technologiques françaises ayant
pour ambition de s’implanter durablement sur le sol américain.
Depuis la création du programme, plus d’une centaine de rencontres entre les start-ups et des industriels locaux ont été organisé, de nombreux partenariats ont donc vu le jour et de temps en temps avec des organisations de prestige telles que Harvard ou IBM. Netva met à disposition sur la page Facebook du concours le bilan de l’édition 2012 : Bilan NETVA 2012.

Comment participer au concours Netva 2013 ?

Le concours est ouvert à toutes les start-ups technologiques ayant une forte capacité d’innovation et se trouvant en phase de lancement ou de développement. Les inscriptions sont ouvertes du 7 février au 7 avril 2013 en allant sur le site : NETVA.

Le jury, qui est composé de professionnels du développement international d’entreprises mais également d’experts français et américains dans l’accompagnement, se réunira durant le mois de Mai afin de sélectionner les futurs candidats pour l’édition 2013.

En 2013, pourquoi pas vous ?

Médias sociaux : la marque locale, globale ou glocale?

Quelle est la bonne échelle pour les marques en termes de relation client à l’heure des médias sociaux ? Est-ce l’échelle globale ? En effet, les médias sociaux permettent aux marques de toucher une audience mondiale à moindre frais, grâce à la force d’impact d’Internet et de la viralité. Mais en même temps, le Web mobile et les applications sur smartphones font que les entreprises peuvent aussi toucher leurs clients là où ils se trouvent, chez eux, dans les transports, sur le lieu de vente… Doit-on alors parler d’un nouveau paradigme, celui de la marque “glocale” ?

Pour répondre à ces questions, Media Aces, l’association des entreprises utilisatrices des médias sociaux, organise une conférence réunissant un panel d’experts et de praticiens :

Médias sociaux : la marque locale, globale ou glocale?

 

Le 25 octobre 2012 de 14h à 17h Chez Ubifrance, 77 Bd Saint-Jacques, 75014 Paris Métro/RER Saint-Jacques ou Denfert-Rochereau Plan d’accès

Au programme de cette conférence:

 

A partir de 13h30  Accueil café

Alban Fournier

Alban Fournier

Dansez avec le dragon ! Médias sociaux en Chine Par Alban Fournier, Consultant Marketing & Stratégie, VALUE2020

Mohamed Khodja

Mohamed Khodja

Sortez de la bulle ! les médias sociaux Made in USA et Brésil Par Mohamed Khodja, Chef de Service Marketing online, Ubifrance

Arnaud Bourge

Arnaud Bourge

De l’hyperLocal au Global Par Arnaud Bourge, responsable Medias Sociaux, direction du Digital et Marina Tymen, manager Relations presse, Community management & E-reputation, Air France

Hervé Pillaud

Hervé Pillaud

De l’hyperLocal au National Par Cynthia Kary et Hervé Pillaud, FDSEA 85

Laurent Gaildraud

Laurent Gaildraud

Orchestrer la rumeur à l’international? Par Laurent Gaildraud, auteur de “Orchestrer la rumeur”
 Cocktail et Networking

Entrée: 30€ sans livre; 50€ avec le livre de Laurent Gaildraud Etudiants: 10€ sans livre; 30€ avec le livre de Laurent Gaildraud

bab.la, portail linguistique collaboratif

bab.la, portail des langues

bab.la, portail des langues

Le portail des langues bab.la créé en 2007 ambitionne d’aller plus loin que les dictionnaires de traduction en ligne. Tout d’abord, il rend l’apprentissage et la pratique des langues encore plus attractifs, avec des quizzes ou des forums par exemple. Mais surtout,  il est ouvert aux suggestions et améliorations des utilisateurs. Jean-Christophe Barré, manager pour la partie française,  nous dévoile les points forts du site.

Pouvez-vous nous décrire bab.la ?

bab.la est un portail linguistique, dont la fonction première est d’offrir des dictionnaires multilingues dans 17 langues. Par ailleurs, nous proposons d’autres services gratuits, dont une section vocabulaire pour gérer vos fiches de mots en ligne et en faciliter l’apprentissage, des jeux et des quizzes, un forum pour poser ses questions et bien d’autres encore, le tout en relation avec l’univers les langues.

Quels constats vous ont poussé à créer ce projet ?

Bien que de nombreux dictionnaires en ligne soient disponibles, aucun ne propose une vision complète des langues et de leurs aspects culturels. Apprendre une langue étrangère, c’est aussi s’imprégner de sa culture, son origine, son évolution et son contexte. bab.la s’efforce de couvrir cela autant que possible à travers des jeux mais aussi des articles (www.lexiophiles.com) et des traductions avec des exemples qui permettent de choisir le mot qui représente vraiment ce que l’on veut dire.

Qui sont les porteurs du projet ?

Dr. Andreas Schroeter et Dr. Thomas Schroeter ont fondé bab.la en 2007 avec Patrick Uecker. Ce dernier s‘occupe de l’aspect informatique du portail tandis que les frères Schroeter s’occupent de la commercialisation et la promotion du site, tout en gérant bien entendu l’équipe de polyglottes qui s’occupent du contenu du site.

Comment les utilisateurs peuvent-ils participer ?

Chacun peut participer, gratuitement et sans même avoir de compte. Les utilisateurs peuvent ajouter de nouveaux mots aux dictionnaires mais aussi prendre part aux discussions des forums et créer des quizzes. L’avantage de créer son propre compte est un accès plus rapide et l’accumulation de points.

Qu’est-ce qui garantit la qualité des définitions ?

Comme chacun peut prendre part à l’amélioration de nos ressources, un contrôle de qualité est mené rigoureusement. Chaque mot suggéré est vérifiable par les autres utilisateurs, mais aussi par notre équipe. En ce qui concerne les exemples, ils sont pris sur Internet ou intégrés par nos soins.

Les sources sont-elles citées ?

Les exemples tirés de journaux ou média en ligne sont référencés. Les quizzes créés par les internautes portent également leur pseudonyme. Les mots ajoutés sont anonymes, dans la mesure où le portail se base sur un concept « wiki ».

Avez-vous des projets pour aller plus loin ?

Nous avons toujours de nouveaux projets et de nouvelles idées. Du point de vue du contenu, il y a toujours de nouveaux mots à ajouter. En ce qui concerne les produits, nous avons récemment ajoutés le suédois et le néerlandais au site et nous aurons le swahili et le danois dans les mois à venir. Nous travaillons aussi sur une application exclusive pour la fin de l’année pour améliorer la syntaxe, disponible dans plusieurs langues mais je ne peux pas vous en dire plus pour l’instant.

Propos recueillis par e-mail par Jérôme Delacroix

La carte de France de la finance participative

Sympathique initiative que celle  de Catherine Wendell de Friendsclear. Elle publie sous forme de Google Map une photo instantanée de tous les projets  financés ou en cours de financement par Friendsclear, spécialiste du prêt entre particuliers.

On voit que l’Hexagone entier est concerné !


Afficher FriendsClear, entrepreneurs financés en P2P sur une carte plus grande

En 2011, faites un cadeau à votre boss !

Les médias sociaux expliqués à mon bossYann Gourvennec nous annonce la sortie imminente de son ouvrage Les médias sociaux expliqués à mon boss, co-écrit avec Hervé Kabla. Ce livre fait le point sur les usages en entreprise des réseaux sociaux, sites participatifs et 2.0, en s’appuyant pour cela sur les témoignages des membres de l’Association Media Aces.

Les médias sociaux en entreprise sont aujourd’hui une réalité, pratiquée quotidiennement par des grands comptes et des PME. Mais il n’est pas toujours facile de convaincre sa Direction de leur pertinence et encore moins de mener des projets à bon escient, non pas parce que c’est à la mode, mais parce que c’est utile.

Les médias sociaux expliqués à mon boss fournit les clés pour relever ces deux défis. L’ouvrage, documenté, avec force graphiques, allie théorie et pratique. Il est ponctué par les dessins humoristiques de Fix, ce qui ne gâte rien !

Mettant en pratique ce qu’ils promeuvent, les auteurs ont eu la bonne idée de mettre en ligne tous les schémas de l’ouvrage. Qui plus est, il est possible de les réutiliser puisqu’ils sont sous licence Creative Commons !

Retrouvez ici les schémas et le livre pour qu’en 2011 votre entreprise soit résolument orientée Web social !

Be Bio : mon 1er financement d’entreprise en P2P avec Friendsclear

Le financement participatif de création d’entreprise, vous connaissez ? Si la réponse est non, ce n’est guère étonnant, car le concept est très récent en France. Friendsclear Pro, sous l’égide de Jean-Christophe Capelli, est en train de faire un remarquable travail d’évangélisation sur ce marché naissant. Souhaitons-lui de tirer toute la réussite qu’il mérite de ce travail, ô combien ardu !

Mais de quoi s’agit-il ?

Friendsclear Pro permet de mettre en relation des internautes investisseurs avec des porteurs de projet de création ou reprise d’entreprise, pour les aider à boucler leur financement. Les entrepreneurs peuvent emprunter auprès de la communauté des investisseurs jusqu’à 15 000 euros sur 3 ans, à un taux de 5,96% ; les investisseurs, quant à eux, sont rémunérés jusqu’à 4,5%.

L’entrepreneur est invité à présenter son projet, en fournissant son business plan, son CV et tout autre document susceptible de donner une image fidèle de son entreprise. Il indique également la somme qu’il souhaite emprunter. Un espace Questions / Réponses lui permet d’être en lien avec ses prêteurs. A noter qu’il dispose d’une durée limitée pour réunir la somme qu’il demande auprès des investisseurs.

Pour ma part, je me suis incrit comme investisseur et viens de réaliser un premier prêt sur le projet Be Bio porté par Catherine Maugée. L’entreprise existe depuis fin 2009 et recourt à Friendsclear pour financer un investissement. Son activité consiste à distribuer des paniers de produits bio aux salariés des sociétés, via les CE ou les conciergeries d’entreprise.

Il est possible d’investir à partir de 100 euros. Je trouve ce concept séduisant pour plusieurs raisons :

– il offre une nouvelle source de financement pour les entrepreneurs

– il va dans le sens de l’encouragement à la prise de risque entrepreneurial

– il offre des perspectives de rentabilité intéressante pour les prêteurs

– il permet aux investisseurs de doser leur risque puisque le seuil minimal de prêt est très bas.

– bien évidemment, cette démarche s’inscrit dans la logique de l’économie coopérative que nous soutenons ici depuis 2004 !

En ce moment, Friendsclear abonde de 50 euros votre premier investissement, pour tout projet réussissant à boucler son financement. C’est le moment où jamais de faire le pas du financement participatif !

Prochaine conférence Media Aces : 6 octobre 2010

Media AcesLe 6 octobre 2010, à l’Ecole des Mines, 60 bd Saint-Michel à Paris, se tiendra la nouvelle conférence de l’Association Media Aces. Cette association regroupe des entreprises utilisant les médias sociaux (outils de micro-blogging, espaces de partage communautaires, blogs) dans un cadre professionnel.

Programme de la conférence

  • Philippe Incagnoli, Directeur marketing de Wall Street Institute France, présentera l’importance de la réputation en ligne pour un organisme de formation.
  • Frédéric Charles, Responsable Stratégie et gouvernance IT de Suez Environnement Lyonnaise des eaux, présentera ses premiers retours d’expérience suite à la mise en place de communautés en interne.
  • Deborah Draï, Responsable Communication du Groupe Kapa Santé, parlera de la santé 2.0 et de l’impact des médias sociaux sur le discours autour de la santé.

Les inscriptions sont ouvertes sur le site de Media Aces.